Objectif-îles; les News - 19 janvier 2002

les textes de vos meilleurs souvenirs avec la famille Gauthey

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Les Amoos

Serge et Keshari

Ici Radio Moquette: La naissance des « Gauthey »

Je me souviens d'une secrétaire acariâtre, membre d'une très stricte secte Luthérienne qui m'avait annoncé d'un air horrifié avoir vu « le chef» embrasser, dans le parking, une femme qui toute évidence n'était pas l'officielle...Je me suis bien gardé de lui dire qu'à mes yeux cette attitude inconvenante. . . . donnait au personnage un côté sympathique.

Je me souviens ensuite de la secrétaire remplaçante (La précédente ne pouvant plus supporter tant d'immoralité !) Madame Brison dite la gouvernante et de Marie-Laure dite chaperon-rouge.

Tous les ingrédients étaient là pour une course poursuite dont je fut le témoin et où il était difficile de déterminer qui était le poursuivi. . . le chef ou les secrétaires. . . , le suspens était insoutenable, le petit chaperon rouge tenait la corde, mais les apparences se révélèrent trompeuses.

J'étais convaincu (cela fut ma première erreur) que l'issue de cette course poursuite ne pourrait être que temporaire et que le chef finirait bien par aller butiner ailleurs. Rien n'en fut, parmi toutes les possibilités, c'est la plus improbable qui se produisit. Jacques et Vivianne, car c'est d'eux qu'il s'agit, convolèrent en justes noces.

C'est bien connu, la vie n'est pas qu'un long fleuve tranquille et chemin faisant, il m'arriva de déménager. A cette occasion, Jacques et Vivianne devenus « Les Gauthey » nous prêtèrent mains fortes. Si du côté déménagement l'affaire fut rondement menée je ne peut pas en dire autant des répercutions de la rencontre de Vivianne avec Keshari, extraits :

- V: Je suis contente de vous rencontrer, jusqu'à maintenant je n'avais rencontré que l'ex femme de Serge. . . .

- K : silence

- V: Est-ce qu'à la maison il est comme au bureau, est-ce qu'il. . . ? (description)

- K : Oh oui, et en plus il. . . .. ! ( description)

- V: A ça m'étonne pas... .etc... ..c'est tous les mêmes ...

Bref je me suis fait tailler un costard pendant toute la durée de l'après déménagement et à l'occasion, j'entends encore aujourd'hui des remarques à propos de mes rencontres avec mon ex~femme dans les hôtels proches de l'aéroport.

Cette rencontre de Vivianne et de Keshari fut ma deuxième erreur, il faut toujours cloisonner le bureau et la famille.

Dans l'intervalle, les Gauthey ont continué une vie menée à la vitesse grand V, faite de Week-ends trépidants, de croisières exotiques et de famille reconstituée. L'annonce d'un projet de voyage maritime autour du globe ne nous a pas surpris, les sceptiques en seront pour leurs frais. Pour nous les Gauthey avaient depuis longtemps gagné leurs statuts de personnages hors du commun et nous savions qu'ils mettraient leur projet à exécution. Je vous le dis, nous avons su éviter la troisième erreur.

La morale de l'histoire, c'est que nos rêves sont alimentés par l'idée qu'il existe des alternatives. Merci les Gauthey .

Annik Stoeklin Meyettaz- les 80 ans de Marie

Il était une fois.......dans les parages.......un certain nommé Chico découvrant nos chers pâturages. Dans son petit sac à dos, bien sûr s'y trouvait toujours et bien discrètement une bouteille de Tequila !!!

SANTE !!!

Les Atakurt

Danielle et Refik

C'était un beau week-end de juin 1998 à Anzy-le-Duc, région du Charolais et du parcours des églises romanes. Des amis communs (Bertrand et Véronique De Sénépart) célébraient le baptême de deux de leurs enfants et Jacques était appelé à être le parrain de Jehan-Guillaume. Nous séjournions dans un magnifique cloître transformé en chambres d'hôtes.

Après la cérémonie du dimanche matin et un repas gastronomique, nous nous installâmes dans des chaises-longues et par la conversation des Gauthey, nous partîmes tous dans un voyage lointain, bercés par les alizés de ....Bourgogne....Nous étions bien......

Fait marquant, nous avons aussi évoqué un éventuel jeu de la "Fivette" et .....un an plus tard, Benjamin naissait........

Les Aviolat

Syrah, Christophe, Patricia, Batiste

Texte de Syrah, 3 ans, aidée par "son nègre" pour la rédaction

Vivianne s'est tout à coup fâchée, alors qu'avec Babou on jouait tranquillement dans le bain avec des petits tas bruns foncés. Elle nous a sortis du bain et a vidé toute l'eau, bien que nous n'ayons pas fini de jouer ! Ensuite elle a demandé qui avait fait caca dans le bain. Heureusement pour moi, c'était Babou.

Vivianne n'était vraiment pas contente. Mais on a quand même pu regarder la télévision, alors on lui a pardonné de nous avoir sorti si vite de l'eau. Elle est quand même cool, mais elle ne comprend pas toujours nos jeux.

C'est une adulte, que voulez-vous !!!

Bibi, dit

Jean-François Creteau

Le premier, c'est de m'avoir donner l'occasion de faire partie de la transat. Merci Jacques.

Le second; nous passions au large de Mallorca dans la nuit. Jacques qui avait abusé des T-punch de Jacquouille, était assez rond. Il a fait son quart couché dans le carré. Dommage, il n'a pas pu voir les feux d'artifice sur Mallorca !!!

Les Biermann

JB, dit Jacques, Myriam, Elodie et Julien

J'ai la particularité de bien connaître les Gauthey, non seulement comme couple ou famille, mais également pour les avoir fréquentés séparément aussi bien l'un que l'autre, puisque j'ai pas mal navigué avec Jacques et travaillé plusieurs années avec Vivianne. Je ne vous dirai pas ce qui a été le plus facile....

Ceci veut dire que je pourrais sans doute raconter un tas d'anecdotes, comme quand Vivianne m'engueulait au bureau à tel point que les gens pensaient que je devais être son mari! ! Ou les vaines tentatives de traversées sur la Corse où, pour ceux qui sont assez vieux, plagiant Robert Lamoureux dans son sketch de la chasse au canard dans son appartement, et qui disait « au troisième jour, le canard était toujours vivant.. » nous pouvions dire « à la troisième tentative, la Corse n'était toujours pas atteinte ».

Mais comme le thème de la soirée concerne la marine, je rappellerai donc une anecdote concernant ce milieu et plus particulièrement notre traversée, non pas de la Grande Gouille, mais de la Corse, finalement réussie à la quatrième tentative.

Cela se passait donc il y a quelques années déjà, où après quelques déceptions, nous réitérions notre préparation pour aller passer 2 jours en Corse, en traversant depuis St-Raphaël. A peine partis, Jacques qui avait préparé la traversée avec le sérieux que l'on connaît, nous dit: « J'ai regardé les informations affichées à la capitainerie du port et d'après celles-ci, notre route va traverser une zone où des sous-marins sont en manoeuvre. Comme notre traversée allait se faire de nuit, nous avons vite jeté un petit coup d'oeil sur le Bloc Marine afin de voir à quoi rassemblait un sous-marin pendant la nuit. Sa particularité : un flash blanc.

Plus tard, il faisait nuit, pas de vent, donc au moteur, le tout avec un fort reste de houle croisée. Jacquouille et JB de quart sur le pont, dans une demi léthargie provoquée par le ronron du moteur et le balancement des flots.

Soudain, ce qui devait arriver arriva, un fort flash blanc attire notre attention et rallume notre vigilance. Là, sur notre droite, pas très loin, voilà le fameux sous-marin prévu. Le temps de reprendre nos esprits, d'essayer d'évaluer la distance, ce qui est toujours très difficile de nuit et. . . . . . . . . nous voilà pris comme un poisson dans des filets dérivants, que le flash était sensé annoncer .

Courageusement, notre skipper sortit de sa couchette douillette, prit son masque, un gros poignard et plongea dans l'eau pour découper le filet afin de libérer le bateau. Une heure de travail, en pleine nuit, avec un bateau secoué dans tous les sens et un filet qui ne se laissait pas faire. Tout le monde le soutenait.....moralement, mais personne n'avait envie de prendre sa place.

Tout est bien qui finit bien, mais il y a des fois où l'on est très content de ne pas être skipper.

Les Bossert

Roger, Sandra et Jonathan

Jacques, tu te souviens du week-end au chalet avec Roger. tu étais venu pour repeindre les pare-chocs de ta belle Audi blanche. Tout un samedi de travail, pour toi et Roger, que Vivianne a détruit 1 à 2 semaines plus tard. Tout un travail à refaire !!!
Les Brocard

Jaclyn et thierry, Lisa et Gregory

Avril 96; destination la Martinique - le Club Med avec Jacques et Vivi. Après de longues heures de vol et le décalage horaire, Titi et moi nous nous réveillons à 6 heures du matin ! (Eh oui, ça arrive !!). Impossible de se rendormir. Ne voulant pas réveiller les Gauthey trop tôt, nous attendons 8 heures. tout doucement, "Toc, Toc, Toc" nous frappons à leur porte. D'un bon, Vivi se lève, ouvre la porte avec l'énergie qui lui est propre et dit; "Ah, enfin, vous êtes debout. En vous attendant, on a déjà visité tout le Club pendant 2 heures, tout filmé et joué une partie de tennis ....( le tennis, c'est un gag..!!!). Vous êtes prêts pour le cours de plongée ? En passant on prendra vite, vite, à toute vitesse un café et un croissant !!!!

Hop, Hop, on y va, go, go !!!

Les Chanel

Pascal, Florence, Charlotte, Pauline

Pascal; la traversée de la Méditerranée pour aller en Corse. Le lever de soleil et à l'horizon, la Corse. Le vent dans les voiles, la solitude et le petit déj. Merci !!

Flo; C'est chouette de pouvoir être aussi bien dans l'herbe, sur une couverture, ou dans un restaurant gastro, avec toujours le même plaisir. Seul objet indispensable; un verre de bourgogne ! Bon voyage !!

Claude Renard

et Madeleine

Réconciliation de Vivianne avec son papa et Madeleine en 2001, après plusieurs années de malentendus. Enfin tout est rentré dans l'ordre.
Les Emery

Jean-Luc, Anne

Après avoir longuement réfléchi, nous n'avons pas trouvé de moments "racontables", mais par contre, nous vous remercions de tout coeur pour les inoubliables moments passés ensemble grâce à votre amitié et fidélité !

Que les vents vous poussent là où vous le désirez pour que la réalité soit plus merveilleuse encore que votre rêve. Nous serons en pensées avec vous et vous souhaitons beaucoup de joie et de satisfaction, Amitié.

Fabien Stöcklin Ouh, la difficile ! Des souvenirs, j'en ai bien quelques-uns, mais je me souviens en particulier d'un très chouette séjour à Meyettaz avec une bonne fondue et un pic-nic au sommet de la Dent-de-Lys en compagnie de Sébastien et Létitia, et en pensée avec Vivianne. A défaut d'une bonne fondue, je vous souhaite quelques bonnes langoustes. Bon vent à tous trois.
Les Foureau

Jacky, Elisabeth, Gael, Maxine

De façon indissociable, les différents week.ends passés à St.Gervais ou en Bourgogne.
François et Nicole Debonneville La cérémonie du mariage, le 21 septembre 1996

Jacquouille, dit Jacques Schneider Avec Vivi; Une semaine de vacances sous le soleil des Açores

Avec Jacques; Au milieu de l'Atlantique, en pleine nuit, il se lève pour nous expliquer comment naviguer sans secouer ceux qui dorment. On a transmis à Neptune.

Jean-Marc Debonneville Cher Jacques et Famille,

J'ai du creuser dans ma mémoire pour trouver un souvenir. Cette période de l'année me rafraîchi un peu la mémoire.

Je me souviens de nos merveilleuses vacances d'hiver à Meyettaz. Les soirées autour de ces grandes tables à faire des jeux. Mais surtout, un jour, nous avions construit un saut derrière le chalet. De plus en plus téméraire, notre piste d'élan devenait toujours plus longue et nos sauts toujours plus spectaculaires. C'était nos débuts, avec nos gamelles, avec nos habits en laine, nous rentrions comme des bonhommes de neige. Quelle joie ! Le goûté avec une tasse de thé bien chaud nous faisait apprécier ces belles journées.

Les Klebovitch

Valérie (Renard) et Philippe

Voici l'histoire du nabot qui peut pas.

C'est l'histoire d'un petit bonhomme qui était tellemet occupé qu'il ne pouvait pas. Je ne peux pas disait-il ! Je ne peux pas ! Je ne peux pas !

Je ne peux pas quoi ???

Je ne peux pas accepter, marcher derrière ma future femme,

Je ne peux pas accepter, rentrer autre que premier dans un restaurant,

Je ne peux pas accepter, que ma future femme allume seule sa cigarette,

Je ne peux pas, je ne peux pas, je ne peux pas.

Je ne peux pas accepter, qu'elle me refuse quand j'ai envie de faire des galipettes toutes les demi-heures. Je ne peux pas, je ne peux pas, je ne peux pas.

Je ne peux pas accepter, qu'elle ne me donne pas la main dans la rue.

Je ne peux pas accepter, que me future belle soeur me prenne en photo du mauvais angle, car j'ai l'impression d'être un nabot.

D'où vient l'expression LE NABOT QUI PEUT PAS !!!!!!!!!!!

Cela m'a poursuivi jusqu'à mon mariage. finalement, maintenant, je peux, au cas où !!!!! (ma nouvelle phrase) mais ça, c'est une autre histoire.

Nous vous souhaitons Bon Vent à tous les trois.

Létitia Gauthey Je me souviens bien de la Meyettaz lorsqu'on y était allé pour passer un week-end de folie avec plein de copains...On avait fait de longues marches bien fatiguantes.....! Le moment que j'ai préféré, c'est quand on est sorti le soir pour Hallowen, qu'on est monté dans la forêt et qu'on a fait du feu. C'était vraiment génial. tout allait pour le mieux et c'est un moment que je n'oublierais pas!!!!

Votre Létitia adorée !!!!

P.S.: j'ai d'excellents souvenirs sur nos croisières en bateau également !

Les Lisle

Jean-Claude et Monique

Le premier souvenir inoubliable avec les « Gauthey » est notre première navigation en mer, en « promène couillon ». Sortis pour passer la journée aux abords de1'ile des Embiez près de Bandol, l'aller depuis La Ciotat se passe bien, la journée est super, mais à l'heure du retour, le Mistral s'est levé, il souffle très fort, nous l'avons dans le nez, les vagues sont impressionnantes et font gigoter le bateau dans tous les sens, c'est la galère, les embruns nous transforment en statues de sel et le comble, c'est la panne d'essence. Obligés de remplir le réservoir avec un jerrican de réserve alors que l'on est ballotés comme une coquille de noix. C'était à l'époque où nous étions encore des marins d'eau douce !!!!

Quelques années plus tard, nous nous retrouvons entre mecs avec deux DUFOUR 30 à notre disposition. Une régate s'impose bien évidemment, et je fais équipe avec Jacques. Nous sommes aux environs des îles de Lérins et il n'est pas question que l'autre bateau prenne la tête! Soudain une bouée cardinale se présente devant nous et, à l'abordage, nous l'éperonnons !!! Ouah, nous voilà échoué lamentablement comme deux couillons, nous avons bonne mine !!! Cet épisode nous a coûté une tournée générale bien sûr et on en reparle encore dans les chaumières.

Marie Debonneville C'était il y a bien longtemps (1959). La famille Debonneville au complet avait invité la grand'maman ainsi que la famille Henri Gauthey à venir aux Marécottes pour fêter les 70 ans de maman.

Henri avait pris avec lui son tourne broche !!! En ce temps là, c'était nouveau un poulet bien rôti !

Les uns allaient au bois, car il fallait alimenter le feu, les autres devaient à tour de rôle tourner la broche, ce qui, avec le beau soleil, réchauffait chacun.

Une journée mémorable. Chacun y a participé d'une façon ou d'une autre et surtout la joie de maman se marquait sur son visage et elle en a souvent parlé par la suite.

Merci !

Les Muller

Sarah et Guy

Week-end hyper sympa de ski à Villars, chalet que Jacques et Vivianne avait loué pour la saison hivernale.

Soirée inoubliable entre amis à papoter autour du feu de cheminée .....

et après un bon repas, Jacques avait l'habitude de s'allumer un "cigarillos", ce qui a tenté Guy qui avait arrêté pendant deux ans.....

et depuis cette soirée là, Guy a repris et fume des "Moods".......Jacques tu n'y es pour rien et je ne t'en veux pas, tu le sais bien !!!

Enfin, je sais quand Guy a repris, mais je ne sais encore pas quand il s'arrêtera !

Nicole Kleiner et Yan Vivianne et Jacques ont été mes voisins durant quelques années à St.-Sulpice.

Dès leur arrivée, dans ce petit village calme du bord du lac, mes nuits paisibles et reposantes ont fini d'être !!!

Voilati pas que la fête battait son plein tous les week-ends ! Je me souviens d'une des premières. Les années 60 !

A environ 3 heures du matin, je dormais 3 étages au dessus de nos gais lurons, mes paupières vibraient au rythme de la musique; "Non, non, rien a changé, tout, tout à continué hé,hé ,hé, hé"...Et c'est depuis cette nuit que je sais que Vivi et Jacquouille adorent les Poppy's !!!

Non, non, ne changez rien, tout va continuer ! Je vous souhaite bon vent pour votre futur. Gros becs à vous tous.

Olive, dit

Olivier Wehren

Hello les enfants,

Souvenirs, j'en ai beaucoup, surtout que l'on s'entend bien et que nous n'avons pas la même vision de la vie, nos passions sont les mêmes; collectionner les voyages, l'aventure, vivre différemment, vivre bien. Un souvenir que j'ai gardé vraiment, c'est une sortie de Porquerolle. force 8, les gens sur la digue, un Jacques qui dirige. Olive prend la barre, JB largue tout .....C'est beau, c'est grand, tout le monde est attentif.

Jacques te souviens-tu de ces beaux surfs (j'étais à la barre)

Patrick Botteron Jacques et les banquiers !!!

Les années de collaboration et d'amitié avec Jacques au travers de la planification "budgétaire" et "financière" de son projet de vie, me laissent des souvenirs qu'il m'est agréable de me remémorer:

- Organisé et toujours efficacement préparé, Jacques, comme un capitaine, à renfort de tableau Excell, de mails et de réflexions, fut toujours à la recherche du meilleur......cap.....financier pour trouver sa route. Parfois il dut même affronter quelques tempêtes boursières !

- Un amour ......modéré....(doux euphémisme) pour les frais bancaires, nous valent quelques divergences d'interprétation.....sur leur bien fondé !

- La chance et le plaisir d'avoir pu collaborer avec trois générations de Gauthey....(C'est aussi un message à Létitia, Sébastien et Benjamin....pour qu'ils restent fidèle à leur banquier)! Avec un petit clin d'oeil à son papa Henri dont le sérieux et le sens des affaires ne fut jamais pris à défaut.

Des océans de plaisir à toute la famille !!!

Les Ramseier

Andreas, Patricia, Sophie et Christian

Les Gauthey's

Mille neuf cent nonante, pendant l'été, Jacques et Vivianne en ménage se mettaient

Mille neuf cent nonante et un, en automne, tu m'as présenté Séba, haut comme trois pommes

Durant la même période de promotions immobilières, à Lausanne, j'ai fait connaissance de ta cavalière

Je dois l'avouer, je le jure sur la tête de Patricia, cet ingénieur, au début, je ne le sentais pas ce mec-là.

C'est bien après que je me suis aperçu, que nous nous accordions bien, comme chemise et cul.

De la collaboration constante qu'on nous impose au début, croit un véritable attachement mutuel sans but.

Quelle chance, Jacques le navigateur, moi le terrien, même nos partenaires s'entendent, ne se reprochent rien.

Notre entreprise commune de cette époque fait faillite, nous cherchons de nouveaux postes et ceci au plus vite.

L'un à la Chambre patronale, l'autre chez les épiciers genevois. C'est ensemble, en suant au fitness qu'on se voit.

Des broches, des fêtes de famille, des rallyes, ensemble, en famille, nous on les rallie.

Les doutes, les craintes, les espoirs, nous partageons. Quel bonheur quand enfin, Benjamin pousse ses premiers sons.

Quel bonheur, toujours, quand vous me demandez d'être le parrain. Aux bébés, c'est vrai, j'ai un peu perdu la main.

Vous allez, toute la famille, vous en aller pendant quelque temps. Rien de notre affection pour vous va changer pour autant.

Vous serez loin, sur des mers pour nous inconnues. Nous savons, dans peu d'années, nous fêterons les revenus !

Les Rodriguez

Carlos et Catherine

Le rallye à Neuchâtel: On était dans le même groupe, on avait eu très froid, on s'était même perdu et on avait atterri à la "Brévine". C'était un souvenir inoubliable !!

Les sorties en bateau (ski nautique, monoski, etc + aperos):

Les Rossier

Sandrine et Zouki

Vivi découvrant pour la 1ère fois les travaux de ma cuisine en me disant;

"Je ne savais pas que les paysans avaient du goût" !!!

Les Schweizer

Jean-Pierre et Françoise

Il y a des pirates sur mer, mais aussi sur terre;

"Ce pirate de D'Jack l'embouché" a bu toute ma "Tequila"

Sébastien Gauthey Souvenirs

Un bon souvenir qui me vient à la tête est paradoxalement un souvenir de vacances (rare étaient celles sans histoire !). Et encore plus surprenant, elles avaient eu lieu sur "un bateau".

Bon, il s'agissait plutôt d'un vieux raffiot puant le kérozène, aussi confortable et spacieux qu'une place en classe économique lors d'un long vol. Vous voyez le genre.... Mais il y avait malgré tout une super ambiance (merci les Biermann) ceux qui étaient avec nous. On jouait aux cartes à l'avant du bateau, dans les vagues. On s'entendait super bien.

A quai on partait à l'aventure et on trouvait un lieu sympa pour nous défouler. Mais c'était risqué, car nos chers parents, lors d'une de nos escapades étaient paniqués de ne plus nous trouver. Nous ayant cherché partout, à part au bon endroit, nous fûmes injustement condammés à croupir sur le bateau, alors que eux, ils allaient au resto ! Nous dûmes même mendier une allumette à l'un de nos voisins pour allumer le gaz et nous faire à manger. De plus, tétanisés par la peur de devoir écrire une rédaction (une lubie de mon père !), on s'était couché à au moins 20h30. Moi personnellement, j'occupais avec mon camarade Julien une cabine de la largeur d'un placard à balais. Mais on avait attendu patiemment le retour des parents sans piper mots.

Quand on en reparle, cela demeure un très bon souvenir et on en rit encore; qu'ils étaient bêtes !

Les Stockhammer

Antoine et Sophie

Par bise, force 4-5, gite du bateau de 30°. Jacques décide d'ouvrir une bonne bouteille de bourgogne au large d'Ouchy, alors que nous naviguons avec le capitaine du bateau, mon père.

Petite baffe à 6 et la gite s'accentue à 40°. Les verres étant pleins de ce bon breuvage, une bonne partie finira au fond de la cale ou sur le tapis .....

Ce n'était peut-être pas tout à fait le moment de déguster cet excellent millésime, en tout cas pas en présence du capitaine qui finira par dire; "Qu'à bord, on ne boit jamais d'alcool..."

Il ne se rendait pas compte qu'on buvait rarement autre chose en naviguant. Peut-être aurait-il fallu boire un vin local plus familier des baffes occasionnées par ce traître de vent du Nord........

Les Stöckli

Ivo et Cornélia

Un soir de l'été passé, la famille Gauthey était en train de boire un apéro avec des amis sur leur terrasse.

Tout à coup, un chien arrive en courant et en aboyant dans leur jardin. Jacques, surpris par ce chien se levait et a essayé de le chasser de sa propriété. A ce moment, le propriétaire du chien arrive assez tranquillement et il est reçu par une belle engueulade de la part d'un Jacques assez énervé. Mais il ne comprenait pas , car l'engueulade était en français.

Le propriétaire du chien essayait de s'excuser en anglais. Jacques, toujours énervé, continuait donc en anglais d'exprimer son mécontentement.

C'est là où le maître du chien en question lui dit les phrases suivantes qui nous ont bien fait rigoler aux Uttins;

"BY THE WAY, MY NAME IS GEORGE. NICE TO MEET YOU"

Dans cet esprit, ne vous faites pas agresser lors de votre voyage et sinon, défendez-vous en disant; "BY THE WAY .....!!!!!"

Les Suter

Thomas et Roselyne, Justine, Marie et antoine

Nous avons un excellent souvenir d'un certain anniversaire (30 ans !) avec un thème pour se déguiser. Le thème était "les indiens et les cow-boys dans la ferme". Oui, c'était bien pour les 30 ans de Thomas à la ferme de Roveray, le 9 novembre 1996.

Je crois me rappeler que nos amis les Gauthey revenaient d'un voyage (de noce peut-être?). Chez nous l'hiver était déjà là.

L'indien et la squaw qui arrivèrent étaient magnifiques. Je n'ai pas reconnu Jacques et je n'étais pas la seule ! Il était à mourir de rire avec sa grosse perruque noire et ses deux tresses. Vivi était magnifique mais habillée un peu légèrement pour la saison. Je pense qu'elle n'est pas passée loin de la grippe. Elle a gelé toute la soirée. Ceci n'est en plus pas étonnant car nous n'avions plus de chauffage.....Mais ce fut une belle soirée que nous ne sommes pas prêt d'oublier.

Véronique Maye et Lorin Excellente fondue chinoise avec feu de cheminée et commentaires en "live" de la traversée transatlantique après avoir tourné une heure pour trouver leur résidence. Heureusement l'accueil fort sympathique a vite fait oublier ces péripéties ! Espérons que les explications en mer pour les retrouver seront plus précises !
Les Veuthey

Pierre-Alain et Blandine

Les 40 ans de Jacques

Le "chauffeur" à Vallorbe très classe, etc, etc, etc

Les Wagner

Philipp et Jessica

Les "Gauthey" ? - C'est "Club Méditerranée" à Bursins:

Vivianne en bikini sur sa chaise longue dans le jardin, petit Benjamin se baignant dans la swimming pool (avec seulement 20 cm de profondeur) et Jacques, en maillot de bain, exhibant son teint bronzé et faisant la grillade sur le barbecue grill sur la terrasse et servant du vin aux visiteurs qui sont toujours nombreux et se réjouissent de la petite enclave du "Club Méditerranée" à Bursins.

Nous allons certainement regretté cette famille des eaux, du soleil et du savoir vivre.

Bonne chance et beaucoup d'aventures sur votre tour du monde.

Les Zurcher

Markus et Andrée

Chers Gautheys,

Le souvenir le plus marquant était quand même le bon souper à la Rôtisserie de Gilly. Après cette soirée, tout le monde savait que Jacques aime bien "les massages".

Voilà, c'est notre mass......eh message !

Les Zurigos